Au Brésil, un chien errant gravement blessé à la tête a été sauvé in extremis grâce à l’intervention d’un homme au grand cœur. Le pauvre animal était dans un état critique et risquait de perdre la vie sans une assistance médicale rapide.
Le chien, nommé Luciano, a été découvert par Wilson Martin Coutinho, surnommé « le Protecteur Coutinho », qui est bien connu dans le pays pour son dévouement envers les animaux. Luciano avait besoin de soins d’urgence pour sa blessure à la tête. Bien que son état ait été terrifiant et désespéré, Coutinho n’a pas hésité à lui venir en aide. Au Brésil, les chiens errants sont un phénomène courant et beaucoup d’entre eux vivent dans les rues, livrés à eux-mêmes. Des milliers, voire des millions, de ces animaux errent dans les rues, abandonnés à leur sort. Ceux que l’on trouve dans les zones urbaines sont appelés « chiens communautaires » et sont souvent nourris par les habitants locaux.
Ces chiens errants sont souvent la cible de personnes mal intentionnées qui n’hésitent pas à leur infliger des blessures. Quand Coutinho a trouvé Luciano dans un tel état, il a rapidement bandé sa plaie avec sa chemise et l’a conduit chez un vétérinaire pour qu’il soit soigné. Après avoir reçu les soins nécessaires, il a fallu du temps et beaucoup d’amour pour que Luciano se rétablisse.
Coutinho a régulièrement donné des nouvelles sur l’état de santé de Luciano dans les mois qui ont suivi. Bien que le processus de guérison ait été long, Luciano était sur la voie de la guérison et sa plaie commençait à cicatriser. Non seulement sa santé physique s’est améliorée, mais sa santé mentale aussi. Le chien a rapidement retrouvé le goût de la vie, en commençant par manger, puis en voulant jouer et s’amuser. Il était transformé et épanoui, si bien que l’on aurait eu du mal à croire qu’il s’agissait du même chien.
Grâce à « le Protecteur Coutinho », Luciano a eu une nouvelle chance dans la vie. Cette histoire prouve une fois de plus que l’amour et la compassion peuvent changer l’existence d’autres êtres vivants.
